Je hais l'été. Je hais ces couples qui se tiennent par la main, se bécotent et se susurrent des mots doux, assis dans l'herbe fraichement tondue.
Je déteste ma mémoire. Je déteste me souvenir de ces moments passés. Je déteste revoir nos longues balades sous le soleil. Je déteste repenser à ses sourires, ses yeux, son visage, son corps. Je déteste sentir son parfum.
Je déteste me rappeler de sa peau contre la mienne, de me rappeler ces moments, ces longs moments rien qu'à nous, sous la couette.
Je déteste repenser à elle et son sourire, son rire, sa voix et son air de jeune chat étonnée de chaque chose qu'il voit.
Je déteste me rappeler de ses calins, soudains comme un orage un soir d'été.
J'ai horreur de l'amour et de la sensibilité, et j'ai horreur des ravages qu'ils ont fait en moi.
Et j'ai horreur de les savoir disparus ou mourants à l'intérieur de moi.
Et en même temps, je les envies un peu.
Je déteste ma mémoire. Je déteste me souvenir de ces moments passés. Je déteste revoir nos longues balades sous le soleil. Je déteste repenser à ses sourires, ses yeux, son visage, son corps. Je déteste sentir son parfum.
Je déteste me rappeler de sa peau contre la mienne, de me rappeler ces moments, ces longs moments rien qu'à nous, sous la couette.
Je déteste repenser à elle et son sourire, son rire, sa voix et son air de jeune chat étonnée de chaque chose qu'il voit.
Je déteste me rappeler de ses calins, soudains comme un orage un soir d'été.
J'ai horreur de l'amour et de la sensibilité, et j'ai horreur des ravages qu'ils ont fait en moi.
Et j'ai horreur de les savoir disparus ou mourants à l'intérieur de moi.
Et en même temps, je les envies un peu.