Jeudi 21 juillet 2011 à 23:12

 Bon, je fais une petite interruption dans la narration de ma fabuleuse  petite histoire pour balancer deux trois trucs que j'ai envie de balancer sur l'état de ma vie.

En fait, c'est surtout pour annoncer (chose ô combien utile) que je vais arrêter ce blog. Mais ça, je le développerai à la fin hein, pour garder le suspense. Donc pour commencer, le mois de juillet touche à sa fin. Trois semaines que je tourne en rond à l'appart' , sans savoir quoi faire. Les deux premières semaines ont été très longues, mais j'ai survécu à grand renfort de jeux vidéos et de sucre.
J'regrette de pas avoir été fichu de trouver du taf, et quelque part, je regrette aussi un peu de passer en 2ème année je crois...
Ca devient dur pour moi de rester ici, avec ma mère et mon frère. Outre le manque d'attachement flagrant envers eux, j'ai de plus en plus la sensation d'être le dernier adulte à peu près stable dans ce putain d'appart'. C'qui est quand même ironique. Bref, ma mère ressemble à une gamine de 17 qui vient de se faire plaquer et qui tente de se convaincre qu'elle va bien à grand renfort d'alcool, de cigarettes, etc... Et mon frère est toujours égal à lui-même (ce qui n'est déjà pas positif) mais à tendance à devenir comme son père... voire pire.
Peu importe, encore quelques mois à faire semblant avant d'être libéré.

Autrement, j'ai pu profité de ces quelques jours pour sortir un peu, notamment voir les deux derniers "amis" (ou ce qui s'en rapproche le plus) qu'il me reste. Ce qui ne fut guère utile en réalité. J'attendais un peu de soutien, de compréhension, n'importe quoi. Ben non. Je me rends compte que leur personne les intéresse plus. C'est logique quelque part. Je suis comme eux je crois.
Pourtant c'est désagréable car je ne leur ai jamais rien demandé. J'en ai jamais eu besoin. Mais là, je suis faible. Faible . Je hais ce mot, mais c'est le seul qui me vient à l'esprit pour l'instant. J'ai été détruit, et même si je me rétablis assez vite, je suis encore vulnérable. Je le sens. Je sais que les séquelles sont là. Mais je lutte. Et je tiens bon. Je retrouve ce que je suis. J'évolue. Je m'adapte. J'apprends à haïr, à remplacer toute émotion, tout ressenti par de l'indifférence, et à me servir de cette colère pour me tenir debout, me redonner des forces.
C'est vrai, j'aurais eu besoin d'un peu de soutien, d'affection, de compréhension, de la part des mes "amis" ou de n'importe qui en fait. Mais on ne change pas. J'ai enfoui ma personnalité trop longtemps, et maintenant elle ressurgit. C'est pour cette raison que les gens m'insupportent. Tout ce que j'étais avant est désormais de retour, mais comme exacerbé. Je ne supporte que peu de gens. Et je les supporte que peu de temps. Ma famille me tape sur le système au point de me donner des envie de meurtre très fréquemment, ce qui n'arrivait qu'avec les gens de l'extérieur avant...
Mais je m'égare. Mes "amis" sont donc officiellement passés du statut de "gens cools avec qui je peux parler de tout ou presque" à celui peu estimé de "sales cons finis".

Voilà donc qui est fait.
Mais je survis. Je me renferme, je ne trouve plus d'intérêt dans mes sorties, j'ai envoyé chié pas mal de monde qui, me semble-t-il, me voulait plus ou moins du bien (mais les gens mentent, n'est-ce pas?), je lutte pour ne pas massacrer famille et amis, etc, etc ... mais paradoxalement, je me sens moins mal qu'avant.
Je me suis fait une raison je crois. Ce qui arrive doit arriver hein.
Alors je m'occupe l'esprit comme je peux. Si possible, loin de tout contact, pour ne pas me remettre à rêver de rencontres agréables, de gens différents, de surprises positives et toutes ces conneries qui finissent irrémédiablement par me décevoir.
Non, je me tourne vers d'autres choses.

Tout ça est survenu au cours de la semaine qui s'achève. Chez mon père, je me suis rendu compte à quel point même lui que j'ai toujours admiré m'était devenu insupportable. Je l'ai réalisé sans même être ému. Je l'ai accepté et mon esprit à fait "tilt".
J'ai découvert pas mal de musiques entrainantes (la plupart liées au steampunk d'ailleurs) qui me sortent de ma torpeur. J'ai commencé à avoir des idées. Je me suis remis à faire de l'exercice quotidiennement. Je me bouge pour essayer de bosser quand même au mois d'aout.
Pleins de choses me viennent à l'esprit et la musique me motive, me garde actif, en mouvement. Et certains morceaux me permet de conserver cette rage nouvelle qui me tient en vie, me fait me battre.

Je vais pas si mal que ça. Je renaît.
Et je pense à elle. Souvent. Très souvent. C'est devenu une obsession. Le genre dont j'ai besoin pour ne pas me laisser dépérir. Mais cette partie, je la détaillerais dans la suite de ma petite "histoire".

Bref, tout va mal, mais par contraste, je trouve que moi je vais pas si mal que ça. Certes, je ne vais pas bien, mais je me bat contre la vie pour aller mieux. Ou pour que tout le monde aille moins bien, c'est à voir.

Enfin, ce ne sera pas clair pour ceux qui liront ça je crois, mais je me comprends. T'façon, je ne sais pas combien de temps encore tout cela sera en ligne alors, au fond, qu'importe hein?

Oui, nous y voilà finalement : Je vais quitter cowblog. Encore. Ca ne fera que la ... troisième fois je crois. Cette fois, définitive je pense. Je crois que je commence à prendre conscience d'à quel point c'est inutile pour le mal qui me ronge. Il y à des gens biens ici, mais ce n'est pas non plus un monde auquel j'appartiens. Et écrire ici revient quasiment à écrire dans le vide (3 lecteurs/trices par jour, c'est bien , mais voilà...) alors autant remplir ce "journal intime" qui prends la poussière.
Il fait partie de ma thérapie d'ailleurs à la base. Oui, je vais écrire là-dedans plutôt que de tout balancé sur le net.
J'aurais aimé avoir une confidente, je l'avoue. Quelqu'un de réel. Mais je suis pas doué pour les interactions sociales, surtout ces derniers temps. J'ai plus beaucoup de patience et je deviendrais désagréable sitôt que je saurais que la personne ne me comprends pas ou n'est pas utile.
Hmm, je m'égare encore. C'est pas important, j'arrive au bout de l'article t'façon. J'crois que tout est dit pour l'instant. Je terminerai mon histoire de coeur plus tard, pour que vous puissiez apaiser votre curiosité, puis je ferai un petit article pour vous dire "au revoir" quand même, parce que je suis pas comme ça.

Mardi 19 juillet 2011 à 23:49

 Okay, alors voilà, vaut mieux que j'écrive ça maintenant, tant que j'ai encore toute ma tête (ha ha) et que j'ai le temps.

Comme je le disais plus tôt, je crois que je suis tombé amoureux. Mais comme vous devez vous en douter si vous venez régulièrement ici, l'histoire qui va suivre sera loin d'être simple.
En fait, ce sera plutôt long, compliqué, et probablement pas très clair.

Une histoire avec de l'amour, du suspense, du doute, de l'aventure, des gens qui ne se connaissent pas, des gens qui aimeraient se connaître, des évènements étranges, des coïncidences, des rencontres hasardeuse, un amour difficile, un voyage épique, un héros, une princesse, des licornes et une éponge spontex.
En gros, tout ce qui pourrait faire un bon livre. Tiens, c'est une idée ça ....

Mais commençons par le début. C'est mieux.

L'histoire que je vais donc vous raconter débute il y a quelques semaines. Durant le mois de mai.
Nous sommes... bon ok, je sais plus le jour exact. C'était un mardi je crois. L'IUT accueillais les jeunes recrues pour des entretiens qui leur permettrait d'intégrer la promo de l'année prochaine. Nous avions été prévenus depuis quelques jours et nous étions tous très impatients de découvrir les "nouveaux" potentiels. Le matin, je me souvenais à peine que c'était ce jour-là, aussi étais-je surpris de découvrir tout ce monde dans les locaux habituellement si calme. Cependant, je me laissais rapidement gagner par cette douce excitation de découvrir la relève, un peu comme un gamin pressé de découvrir ses cadeaux à l'approche de noël.
De plus, l'année scolaire touchant presque à sa fin, les profs étaient assez relax et, d'ailleurs, eux aussi voulaient savoir à qui ils pourraient avoir affaire l'année d'après.
Bref, à chaque pause, nous étions nombreux à nous précipiter aux étages réquisitionnés pour les entretiens dans le but d'apercevoir l'une ou l'autre tête connu ou, à défaut, pour faire connaissance avec les nouveaux venus.
En réalité, j'étais loin de partager l'engouement des autres. J'étais beaucoup trop détaché de tout après les derniers évènements. Mais j'y allais tout de même, pour voir. Rien de bien surprenant dans ce que j'y vis car, en réalité, lorsque nous pouvions enfin sortir, pas mal des entretiens étaient déjà finis et il restait bien peu de monde. Toutefois, certains d'entres eux allaient s'asseoir parmi les rares candidats, soit parce qu'ils se connaissaient, soit pour discuter.
Je passais mon tour et retournais rapidement en cours, loin de toute cette agitation.
Mais avant cela, je jetais un oeil curieux aux listes des candidats affichées dans le couloir pour les aider à trouver leurs salles. Peut-être esperais-je y trouver un nom qui me serait vaguement familier. Bien sûr, ce ne fut pas le cas.
Pourtant, une idée me vint. Et si je notais quelques noms, histoire de voir? La technologie nous à apporté Facebook et, même si c'est loin d'être la meilleure chose qui soit, je pourrais m'en servir pour jeter un oeil aux têtes de ces jeunes fous. 
Bon, je dois aussi avouer qu'à cet instant, je cherchais quelqu'un d'autre dans tout cet amas de nom. Une personne que j'avais déjà vu à de nombreuses reprises et que je souhaitait retrouver.
Enfin, passons.
Le deuxième jour donc, j'arrivai en cours bien décidé à relever quelques noms dans l'espoir de trouver parmi eux la personne que je cherchai. Le matin , je ne pu le faire car je ne tenais pas à être vu. Quelqu'un aurait pu me piquer l'idée et j'appréciai moyennement cela. L'après-midi, je me sentais presque décidé, mais je me dis finalement que c'était stupide, et j'allai donc en cours. Seulement, la salle qui nous avait été attribuée donnait sur la sortie arrière du batiment où se passaient les entretiens.
Distrait, comme à mon habitude, j'y jetais donc régulièrement des coups d'oeils, ne serait-ce que pour éviter l'horrible vision du prof qui tentait de nous inculquer quelque chose à l'avant. Et à cet instant, je vis une personne sortir. Le genre de personne que mon oeil à pris l'habitude de repérer. Une personne différente. Au style différent. Des habits noirs, un sac Jack en bandoulière. Rien de bien extraordinaire, mais elle eu un effet intrigant sur ma personne. Je la suivais du regard, tentant de déterminer qui elle pouvait être. C'est a regret que je la vis disparaitre hors de mon champ de vision...
Croyez-vous au destin? Moi je crois que certaines choses doivent se produire. Que quoi que l'on fasse, elles arrivent car elles doivent arriver. Et que si on est suffisamment attentif, suffisamment réactif, on peut-être là au bon moment lorsqu'elles arrivent.
Après l'avoir vu, je me suis dit que c'était peut-être une des futures première année. Elle devait donc être sur les listes.
A la pause, je me suis donc dirigé vers lesdites listes, bien décidé à relever les noms des filles pour la retrouver.
J'ai regardé les listes une première fois, tentant d'en retenir un maximum puis je retournai en cours.

A la fin de l'après-midi, j'y retournai, pressé de rentrer, mais tout de même désireux d'en retenir un maximum.
Pour une obscure raison, j'ai oublié de vérifier les noms en rentrant, et je ne les ai pas notés non plus. Pourtant, l'un d'entres eux m'avait marqué.
Au point que, quelques jours plus tard, lorsque je me souvins de cette histoire, j'allais immédiatement le vérifier. Un seul résultat.
Un seul.

Elle.

Je crois que certaines choses doivent arriver. Et que si on est assez réactif, on peut se trouver là au bon moment.
Mais je suis un rêveur, et mon rôle c'est de rêver. Peut-être est-ce une interprétation malencontreuse. Peut-être que je me trompe...
 

Bref, l'histoire n'est pas finie, ce n'était que la première partie. Cependant, elle m'a inspiré. J'aurais pu vous mettre une photo d'elle, ou un truc du genre, mais je me fais passer pour un artiste. Et comme elle m'inspire beaucoup, j'ai tenté de la dessiner. Mon faible talent ne lui fait pas honneur, mais peu importe.

http://hell.awaits.cowblog.fr/images/Valeriane.jpg

Mardi 19 juillet 2011 à 18:25

 Je crois que je suis tombé amoureux.
Comment ça se soigne déjà?

Dimanche 3 juillet 2011 à 23:21

Je ne crois pas que j'irais plus loin avec cette fille de ma promo.
Je me sens incapable d'avoir une relation avec quelqu'un je crois. Que ce soit amicale ou autre en fait.
J'ai l'impression que tout le monde est pareil, et que ce que je fais est inutile et stupide.
Parce que malgré tout ce que j'ai enduré, je continue à m'accrocher à ce petit espoir de trouver la bonne personne.

Je n'y comprends rien. Chaque homme, chaque femme que je croise est pour moi une personne de plus que je finirais par haïr. J'en suis sûr maintenant. Je hais même mes parents, ma famille et ce qu'il me reste d'amis.
Je n'attends plus rien de la vie, plus rien des gens.
Mais il y a cette chose au fond de moi qui tente irrémédiablement de me tirer la tête hors de l'eau. Ce petit truc incompréhensible qui me pousse à chercher, même sans m'en rendre compte, cette personne, cette fille qui sera différente. Qui saura me dire les mots qu'il faut pour je crois à nouveau. Qui pourra me donner la force de me battre. Cette fille, cet individu unique qui saura exactement quoi dire, quoi faire pour que je quitte cette torpeur destructrice pour recommencer à construire ou à faire ce que je dois faire.

C'est idiot au possible, je m'en rends compte moi-même. Ca sous-entendrait l'existence d'une telle personne déjà, mais aussi que cette personne ne serait pas touchée par toute cette déchéance, cette espèce de corruption visqueuse et rampante que je vois se propager partout, chez tout ces gens que j'appréciais, voire même que j'admirais autrefois. Et ça voudrait également dire que je serai la personne que elle attendrait.
Trop de "si", et bien trop peu de chances que cela se produise. Pourtant, je ne peux pas me défaire de cette idée et je continue à chercher.
Je cherche, comme à l'aveugle, comme un sourd tendrait désespérément l'oreille dans l'espoir fou de percevoir un jour un son.

Et pendant ce temps, mon esprit joue au yoyo, bascule d'un état quasi végétatif à un état de colère, avant de devenir subitement mélancolique. Tantôt force de la nature, presque invincible, emplit d'énergie, tantôt larve dépressive, faible créature chétive et pathétique, tout juste capable de se trainer et de se lamenter sur son horrible destin.
Je n'existe plus comme un être à part entière, je ne suis qu'une facette de l'être entier que j'étais...
J'ai ce sentiment d'être brisé, et je l'ai probablement été après ce qu'elle m'a fait, après ce qu'il s'est passé. Et maintenant, il n'y à que des morceaux de moi.
Des morceaux rattachés entre eux que par une chose, aussi stupide soit-elle : l'espoir de rencontrer un jour, par hasard, cette personne, cette seule et unique personne et que, parmi tous les choix, les possibilités, elle choisirait de m'aider, de m'aimer.

Ca me semble irréelle comme possibilité. Tellement improbable.

Mais cette partie de moi, celle qui crois encore, elle devient plus forte, elle gagne en assurance. Elle a pris des coups lorsque j'ai croisé ces filles, celles dont j'aurais pu tomber (et dont j'ai probablement du tomber) amoureux. Elle a souffert en se rendant compte de la difficulté de la tâche. Elle a eu mal devant les obstacles qui s'acharnaient à la faire tomber, à me faire tomber.
Pourtant, cette infime partie de mon être qui rattache l'ensemble, cette partie a réussi à gagner en confiance.
Car en y réfléchissant, les évènement improbables arrivent plus souvent qu'on ne le pense, non?
Quelles étaient les chances pour que les premiers organismes apparaissent sur notre planète? Qu'ils évoluent? Quelles étaient les chances que l'Homme apparaisse? Parmi toutes les espèces, combien de chances y avait-il?
Combien de chance y avait-il pour que toutes les rencontres, les mélanges génétiques mènent finalement à moi, à vous, à ce que nous sommes?
On ne s'en rend pas vraiment compte, mais le nombre de fois où tout aurait pu changer est absolument immense. Pourtant, nous sommes là, alors que nous aurions très bien pu ne jamais exister.

Alors, finalement, au regards de tout ces évènements, ai-je réellement si peu de chances que ça de trouver cette fille?

Si j'ai mes chances, j'espère que je serai capable de ne pas la rater....

Samedi 2 juillet 2011 à 1:37

 Ma vie fais des trucs bizarres en ce moment.

Pas exceptionnels non plus hein, juste inhabituels, et intrigants.
Bon, déjà musicalement parlant, je fais pas mal de découvertes surprenantes et agréables, je suis assez content.
Mais c'est pas ce qui me turlupine.
Voilà, avant hier, une fille de ma promo est venue me parler sur FB. Elle m'avait ajouté depuis un bout de temps voyez-vous, mais on n'avait jamais réellement parlé. Et là, elle est venue et on a parlé pendant près de 4h.
J'me suis rendu compte qu'on avait beaucoup de points communs, plus que je ne le pensais même... Ca m'a surpris. J'ai appris pas mal de trucs sur elle, et étonnament on s'est plutôt bien entendus.
Mais j'avais l'impression qu'il y avait quelque chose que je ne savais pas. Impression que j'ai toujours. Vous savez, cet impression qu'on à quand quelqu'un semble attiré par nous, ce truc qu'on sent, incertain, hésitant, comme si c'était juste au bord de notre champ de vision. Cette impression que l'on a aussi que quelqu'un parle de nous quand on passe à côté d'un groupe et qu'on l'entends rire doucement...
Bref, cette impression m'inquiète un peu...
Enfin, avant-hier toujours, j'étais sur DA et je me suis mis a discuter également avec un autre jeune fille. Allemande celle-ci. A propos de dessin principalement. Là encore on a papoté pendant pas mal de temps par messages interposés. 

Ces discussions ont continué aujourd'hui bien sur. Enfin, pour la fille de ma promo, j'ai un peu fait en sorte de lancer la discussion aujourd'hui parce qu'elle m'intrigue.
La jeune allemande m'a fait découvrir deux groupes musicaux tres intéressants d'ailleurs. On a commencé à s'éloigner un peu du dessin comme sujet principal en fait. Elle a l'air gentille, même si c'est parfois un peu technique de converser en anglais (elle semble avoir du mal et j'ai pas confiance en ma maîtrise de langues dès qu'il faut les appliquer à des non-francophones)
Pour la fille de ma promo (qui est le sujet principal de cette article, je l'avoue), elle m'intrigue au plus haut point. Quelque chose chez elle, dans sa façon d'être avec moi me questionne. Je ne saurais mettre la main dessus, mais j'espère que c'est quelque chose de positif et pas un piège.

En fait, on à parlé de pas mal de trucs, puis on a abouti à nos histoires de célibats etoo. J'veux dire, ça m'a paru étrange la façon qu'elle à eu de me sortir certains trucs alors qu'on se parle vraiment que depuis hier. Mais je me fais surement des idées.
Je suis doué pour me faire des idées très vite quand je commence à parler avec un fille. Je ne sais pas pourquoi, mais je m'imagine très vite qu'elle ressent quelque chose pour moi ou, plus souvent, que je ressens quelque chose pour elle.
Mais avec tout ce qu'il s'est passé récemment, j'essaye de pas trop faire ce genre de chose. Je sens en moi le profond désir qu'il se passe quelque chose, j'aimerais découvrir qu'elle m'apprécie plus que ce qu'elle laisse entendre. Honnêtement, j'adorerais qu'elle me dise de manière plus ou moins claire que je l'attire, mais je me force à ignorer ce genre de choses. J'essaye avant tout d'écouter mon instinct. Je l'ai rarement fait, et ça a abouti au désastre avec Anaelle. Je referais plus cette erreur. Si mon instinct me dit de laisser tomber avec cette fille, je le ferais. Peut importe ce qu'il m'en coutera, je n'ai déjà plus grand chose, alors je craint pas de perdre quelque chose que je n'ai pas.
Cependant, tant de rencontre positives en si peu de temps me rendent inquiet. Je sais que j'ai déjà eu des moments comme ça ou j'avais l'impression que tout allait mieux, et ce n'était que des pièges qui m'en ont remis un coup violemment.
Je sais pas trop ce que je dois faire (pour pas changer) mais je crois que je vais attendre un peu et voir comment les choses évoluent. Je n'ai plus envie de me faire avoir à nouveau, et j'ai pas non plus envie de m'engager dans un relation destiné à échouer. Si je dois ressortir avec quelqu'un, je veux que ce soit une relation solide, une personne sur qui je puisse compter. Apres Anaelle, je me sens brisé sentimentalement parlant, et il faudra beaucoup de patience à la prochaine pour recoller tous les morceaux. Et je crois pas que je survivrais (moi ou ma raison) à une autre dans son genre.

Bref, qui vivra verra. J'espère que je ferai le bon choix au bon moment cette fois, mais rien n'est moins sûr...

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