J'ai tout envoyé bouler.
Les études.
Les gens. Qu'ils me veulent du mal ou du bien.
La vie.
Les émotions.
Je flotte dans un état second, au milieu du chaos.
Je me sens ravagé, mais également en paix.
J'ai lâché prise. J'ai oublié de me raccrocher à la réalité.
Ici, il n'y a plus rien. Ni mal. Ni bien.
Ni douleur.
Juste de la colère.
Ardente, brûlante, comme un feu dévorant tout, purifiant les erreurs de l'homme.
Je me laisse consumer et j'en savoure chaque instant comme le condensé de mes expériences sur terre.
La colère a toujours été la constante dans ma vie.
Je crois que rien n'arrive par hasard.
Cette rage à un but. Alors pourquoi l'empêcher de l'exprimer?
J'ai provoqué ce qui arrive.
La solitude.
Le rejet.
L'incompréhension.
Cette fois-ci, je les ai cherché.
J'ai commencé à écouter cette voix au fond de moi.
Peut-être que c'est ma conscience, peut-être que c'est ma partie sombre.
Peut-être les deux en même temps.
Quelle importance?
Il n'y avait plus rien avant, maintenant j'ai quelque chose à quoi me raccrocher.
Et si je ne peux rien créer de beau, de magnifique.
Si je ne possède pas le talent artistique, intellectuel ou moral pour construire, bâtir, diriger.
Si je suis incapable d'aider, de sauver ou de guérir.
Il me reste la possibilité de faire une chose.
Une chose dont je me sens capable.
Un chose que je sais faire.
Que j'ai fait.
Que je ferai.
Détruire.
Les études.
Les gens. Qu'ils me veulent du mal ou du bien.
La vie.
Les émotions.
Je flotte dans un état second, au milieu du chaos.
Je me sens ravagé, mais également en paix.
J'ai lâché prise. J'ai oublié de me raccrocher à la réalité.
Ici, il n'y a plus rien. Ni mal. Ni bien.
Ni douleur.
Juste de la colère.
Ardente, brûlante, comme un feu dévorant tout, purifiant les erreurs de l'homme.
Je me laisse consumer et j'en savoure chaque instant comme le condensé de mes expériences sur terre.
La colère a toujours été la constante dans ma vie.
Je crois que rien n'arrive par hasard.
Cette rage à un but. Alors pourquoi l'empêcher de l'exprimer?
J'ai provoqué ce qui arrive.
La solitude.
Le rejet.
L'incompréhension.
Cette fois-ci, je les ai cherché.
J'ai commencé à écouter cette voix au fond de moi.
Peut-être que c'est ma conscience, peut-être que c'est ma partie sombre.
Peut-être les deux en même temps.
Quelle importance?
Il n'y avait plus rien avant, maintenant j'ai quelque chose à quoi me raccrocher.
Et si je ne peux rien créer de beau, de magnifique.
Si je ne possède pas le talent artistique, intellectuel ou moral pour construire, bâtir, diriger.
Si je suis incapable d'aider, de sauver ou de guérir.
Il me reste la possibilité de faire une chose.
Une chose dont je me sens capable.
Un chose que je sais faire.
Que j'ai fait.
Que je ferai.
Détruire.